Spiro, la société de véhicules électriques (VE) opérant à travers le continent africain, est prête pour son expansion. La société vise à renforcer son réseau de points d'échange de batteries et de recharge dans les pays où elle opère, avec un accent particulier sur le Togo.
Le 14 février, Spiro a annoncé un partenariat significatif avec Petrocity, un opérateur de stations-service renommé au Kenya. Cette collaboration vise à renforcer les stations d'échange de batteries intelligentes et automatiques de Spiro, en les rendant plus accessibles dans des sites stratégiques de Petrocity au Kenya.
Tout au long de ce mois de février, Spiro prévoit de lancer des stations d'échange automatique dans tous les pays où elle est présente, y compris le Bénin, le Togo, le Kenya et le Rwanda. Un total de 50 sites supplémentaires sont prévus pour inauguration dans les semaines à venir, en tenant compte avec soin de leur placement au sein du réseau Petrocity.
Aman Kurji, Directeur Général de Petrocity, a exprimé sa fierté quant à ce partenariat : "Chez Petrocity, nous sommes extrêmement fiers de collaborer avec Spiro, le leader africain des véhicules électriques, alors que nous entamons un voyage transformateur vers la mobilité durable. En intégrant les stations d'échange intelligentes de Spiro dans notre réseau, nous sommes à la pointe d'une révolution environnementale."
Les objectifs ambitieux de Spiro comprennent l'atteinte de 40 000 batteries, la facilitation de 7 millions d'échanges de batteries réussis à travers l'Afrique, et l'établissement de plus de 600 stations d'échange continentales. Leur modèle d'échange de batteries priorise l'efficacité et la commodité pour l'utilisateur, permettant des échanges rapides de batteries déchargées contre des batteries entièrement chargées, garantissant des déplacements sans interruption et efficaces sans de longs retards.
Ce partenariat s'aligne sur l'engagement du Togo envers le développement des véhicules électriques, soutenu par des incitations fiscales énoncées dans la loi de finances 2024, qui s'étend désormais aux batteries de véhicules électriques.